COMPRENDRE LES ORIGINES DE LA DETTE ENVIRONNEMENTALE

Comprendre les origines de la dette environnementale

Avec son label et sa newsletter, Conscious Times a pour but de créer un réseau de professionnels conscients de la crise environnementale.

A travers ce réseau et sa newsletter, Conscious Times partage des informations et des connaissances avec le grand public, les professionnels et les institutions, afin de rendre visible les contributions significatives permettant de mieux appréhender la dette écologique, de manière individuelle et collective. En d’autres termes, Conscious Time se propose d’être une vitrine miltidisciplinaire des réponses proposées par toutes les personnes qui se sentent solidaires des trois critères énumérés ci-dessous. Si notre projet vous parle, souscrivez à notre newsletter, inscrivez-vous sur notre réseau, et, le cas échéant, contribuez-y !

1. Renouer avec l’environnement.

Dans cette perspective, nous vous proposons des pistes pour restaurer notre capacité à établir une relation directe, vivante et saine, avec notre environnement (corps, communauté, nature, univers). Nous sommes issus du monde, produit par le monde, et non pas indépendants de notre environnement. De cette relation, respectueuse et harmonieuse, dépend notre propre équilibre.

2. Sortir de la spirale de l’endettement transgénérationnel.

Il s’agit ici de partager les connaissances qui portent sur les processus de transmissions transgénérationnels, individuels et collectifs, dont les sociétés traditionnelles ont toujours eut conscience, qui furent identifiées comme des dettes héréditaires dans l’Antiquité grec, et que l’on retrouve dans la psychothérapie contemporaine avec l’analyse des héritages transgénérationnels inconscients. Ce sont des processus similaires (manques d’intégration, fuite dans le futur, résistances, dénis) qui opèrent dans la genèse et la transmission de la dette environnementale. Au lieu de poursuivre une culture de la transmissions de dette, il s’agirait de revaloriser les transmissions intergénérationnelles, profitables aux nouvelles générations.

3. Développer les pratiques non polluantes, durables.

Il existe des solutions qui ne polluent pas, surtout dans le domaines des sciences humaines et thérapeutiques. Pour nous en inspirer, nous voulons mettre en avant les démarches qui privilégient, lorsque cela est possible, des pratiques naturelles, non polluantes, à toute autres pratiques qui générent de la pollution. Et pour viser des résultats durables, il s’agit aussi de rechercher l’origine des difficultés, plutôt que de se focaliser sur l’erradication superficielle des symptômes apparents – comme c’est la tendance dans nos sociétés modernes.